mercredi 1 mai 2013

Sébaste à la Charmoula (2)

Un repas de l'humilité et des saveurs. Il n'y a rien dans la préparation de ce filet de dorade à la tunisienne qui flirte avec la haute gastronomie.
Il y a juste du temps. Celui généreux de la marinade et celui précis de la cuisson. Le reste est, comme souvent, la question amusée et permanente de l'équilibre entre les épices et la chair entre le cru et le cuit. Ne vous y trompez pas : Ce qui semble cru a été cuit par la marinade et ce qui doit être cuit est encore croquant. Le poisson seul est un dénominateur commun délicat. Magnifique repas.