Les préparatifs des festivités de Noël avancent à grands pas. Outre le grand samedi, entendez le nettoyage harmonieux et précis des mille et une choses qui échappent à mon regard, il faut envisager l'espace et son utilisation lorsque la population du site est multipliée par trois. C'est la haute saison ici, pour les touristes urbains. Un repas de midi qui s'apparente à un frère d'été sans qu'il serait pris au jardin.
Une assiette froide avec quelques feuilles vertes sous l'huile de noix et des bouts de viandes ramassés ici et là. Une paire de tomates venue d'on ne sait où mais incroyablement goûteuses et agréables en bouche. Quelques oeufs durs du Champia et, ne surtout pas l'oublier, un beau rayon de soleil qui dort sur la table de midi. Pendant que le papy se laisser engourdir par un thé philosophale, je me replonge dans la déco des petits endroits discrets ou la mise en valeur des couleurs. Je passe un temps fou à associer la lumière et l'ombre, la clarté et le sombre. Le végétal et le minéral. L'insolite et l'insolent. Quelques images encore aidées par le soleil de cette belle après-midi même si le vent s'est fait bruyant. L'absinthe pour l'une et le ron du Vénézuela pour l'autre, à glisser sous le sapin, en attendant les autres cadeaux. Un étonnant repas sans frontières pour le souper. je vous dis ceci tout à l'heure.
